 |
 |
Divers - Échange et rencontre |
|
Vous avez été témoin d'un fait cocasse
ou inédit lors de votre ronde de golf, envoyez-moi un courriel et je me ferai un plaisir de
l'ajouter ici. |
|
 |
|
 |
 |
Deux petites histoires... |
 |
 |
Au club de golf Le Cristal (St-Rosaire au Centre-du-Québec), je fais un match avec un ami, mon père et un de ces ami. Alors que nous sommes au départ d’un trou situé tout juste à côté du terrain de camping, l’ami de mon père, un policier par surcroit, prend position et frappe sa balle du tertre des blanc. Cette dernière va frapper la petite balle rouge qui indique les tertres avancés, rebondit en l’air et monte à environ 100 pieds et se dirige tranquillement vers le camping. Tous cherchent la balle et moi qui la voit leur indique sa position. Finalement la balle va terminer sa course sur une grosse roulotte dans un beau bruit de taule froissé. Le propriétaire sort alors de son domaine et commence a chercher d’où cela peut bien venir et commence a regarder dans notre direction car on est mort de rire, et l’ami de mon père regarder vers l’allée et dire, ‘Wow bon coup plein centre de l’allée’ et de monter dans la
voiturette et poursuivre sa route comme si de rien n’était, alors que mon ami et moi qui marchions on n’en finissait plus de rire.
Le 10 octobre dernier, en compagnie d’amis, on joue une ronde au club de golf de Grand-Mère en Mauricie. Au 15e trou, un des joueur envoi son coup de départ sur la gauche près des arbres. Les 3 autres, on est dans l’allée et on joue notre coup pendant que notre compagnon chercher sa balle. Une fois que nous avons tous frappé, on va lui prêter main forte dans ses recherches (on peut se le permettre puisqu’on est presque les seuls sur le parcours en cette journée de semaine du mois d’octobre). Notre copain cherchait sa balle dans l’herbe longue alors nous on décide de jeter un petit coup d’œil sous les arbres. Stupéfaction, au pied d’un arbre il y a environ une trentaines (30) de balles qui son là, Jackpot pas de balle a acheter pour un bout. On regarde de plus près mais les balles sont tous endommagées et rongées par un petit animal. On continu encore la recherche, un autre arbre et encore près d’une quinzaine de balle au pied et encore un peu plus loin une autre dizaine. Tous cela pour dire que la seule fois où j’avais vu autant de balles c’était quand je travaillais dans un ‘driving range’ et que désormais je vais tenter de me procurer un écureuil, lui enlever ses dents et le dompter afin qu’il me rapporte les balles que j’envoie dans le bois…
Référé par
:
David Paquin
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Je me suis remis au golf... |
 |
 |
Mon auguste femme estimant que la marche
me ferait du bien m'a suggéré de me remettre au golf. Ses désirs étant
des ordres, je suis parti sur le champ m'enquérir de l'habillement
adéquat et des ustensiles utiles à la pratique de ce noble art.
Concernant l'habillement, pas de problème, le golf s'est fortement
démocratisé mais il est cependant de bon ton de porter des « knikers » comme
le font les écossais et les anglais car comme chacun sait ce sport nous
vient tout droit de la perfide Albion où la tenue vestimentaire doit
être strictement adaptée à la situation. Les chaussures cloutées sont
indispensables sous peine de glissades intempestives, le golf se
pratiquant sur un terrain bien gras de préférence. J'ai donc déniché une
vieille paire de godillots sur lesquels j'ai vissé quelques clous de
gros diamètre. Enfin, la casquette affichant une marque de golf connue
est vivement recommandée mais pas obligatoire. Toutefois, n'allez
surtout pas porter une casquette publicitaire du tour de France ou celle
de votre club de football, c'est très mal vu.
Concernant les ustensiles, il faut des cannes dites « clubs ». J'en
avais bien quelques uns mais en osier qui paraît il ne sont plus
utilisés de nos jours. Allez savoir pourquoi ? Un sac pour mettre les
cannes, pardon, les clubs et une carriole pour transporter le sac. Pour
les clubs, j'en ai donc acheté d'occasion via un bon copain en qui j'ai
toute confiance et qui est un spécialiste. Il a choisi pour moi des «
Ping Zing » si... aux avantages incontestables : couleur rose fluo
permettant même de jouer la nuit, répartition sphérique des masses,
bâton en carbone et tout et tout. Pour le sac ma femme m'a cousu un
vieux rideau et pour la carriole j'ai fait avec deux roues de vélo un
bricolage maison du plus bel effet.
Fringué à l'étiquette avec ma culotte bouffante et tout mon bazar je me
suis donc rendu sur le terrain où je fus accueilli par quelques regards
goguenards mais on aller voir ce qu'on aller voir... La première
déception vint que je dus couper les clous de mes godillots, cet
accessoire n'étant plus autorisé. A ma demande d'explications l'on me
répondit que, à cause des clous, les vers de terre étaient atteint de
douleurs lombaires, que d'ailleurs ils avaient déposé plainte en tant
que vers de terre golfique agricole d'une caste supérieure et qu'à ce
titre ils réclamaient en plus des subventions sous peine de grève.
Arrivé au trou N° 1, je choisis soigneusement un club au hasard et tape
par quatre fois dans le vide (des air-shoot qu'ils disent).
Manifestement, c'est le club qui est trop court. Je change donc pour un
« bois en titanium » et ne réussis qu'à faire quatre magnifiques trous.
Re-manifestement, cette fois, c'est le club qui est trop long.
Vérification faite, il s'avère que toutes les cannes ont une longueur
différente, franchement, c'est du vice à moins qu'il y ait un défaut de
fabrication ?
Bref, en finale, j'opte pour le « putter » qui me rappelle le croquet
mais n'offre aucune fiabilité directionnelle ce qui me vaut quelques
incursions dans les bacs à sable (les bunkers qu'ils disent, à ne pas
confondre avec les blockhaus) dont j'ai un mal fou à sortir. Le plus dur
étant le jardinage après pour tout remettre en état.
Enfin, après un nombre incalculable de coups je suis arrivé sur un rond
d'herbe tout beau, tout propre avec un petit trou au milieu orné d'un
drapeau. Mon adorable chien dut alors satisfaire un besoin naturel (le
gros, pas le petit) ce qui faisait désordre. Je mis donc l'objet du
délit dans le trou en replantant le drapeau par-dessus.
Ça n'a pas eu l'air de plaire à un jardinier juché sur une tondeuse à
gazon qui m'a prié de quitter le terrain. Le golf, c'est un beau sport
mais c'est fou comme les gens y sont compliqués !
Référé par
:
Antoine Rasson
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Merci Tortue... |
 |
 |
Le 29 juin 2004, au club Base de Roc, à
Joliette, trou no 15.
Je suis au 100 verges. Entre moi et le
vert, un lac profond. À l'aide de mon cocheur d'allée, je frappe une
balle très haute qui se retrouve en plein milieu du lac. Splash!... Ah
non!... Et puis bing!.. Croyez-le ou non, la balle rebondit très haut,
retombe sur le vert à 10 pieds du drapeau et je réussis la normale.
Éberluées, mes compagnes et moi nous précipitons au bord du lac pour
élucider le mystère... C'est là qu'on voit cette petite tortue, un peu
sonnée, qui y flotte en surface.
Merci tortue.
Référé par
:
Mme Alphey Fréchette
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Loi de Murphy... |
 |
 |
Il y a plusieurs années,
au Club de Golf de St-Polycarpe (Soulanges) près de Valleyfield, je me
présente au trou # 11 avec mon partenaire de jeu qui était aussi un ami
de longue date. Le trou # 11 est une normale 4 de plus de 400 verges des
jalons les plus éloignés et bordé à gauche par un champ de maïs.
Mon partenaire et moi jouont notre 1er coup en utilisant un bois # 1. Je
frappe un bon coup mais ma balle se retrouve à gauche en face d'une
trappe de sable d'allée. Trappe, qui de mémoire était assez longue. Pour
me rendre au vert avec mon 2ième coup, ma balle devra survoler la trappe
de sable. Jusqu'à présent, pas de problème, j'ai une belle ligne, ma
balle n'est pas en mauvaise position donc tout va bien.
Pour mon 2ième coup, je décide de prendre mon bois # 3. Comme je me
prépare à frapper, mon partenaire m'indique de faire attention car il y
a une râteau à l'autre bout de la trappe en ligne directe entre moi et
le vert. Le râteau ne repose pas au sol mais est planté comme un piquet
bien droit. Il me dit, de ne pas frapper tout de suite, qu'il va aller
enlever le râteau.
Moi, je lui répond que non, que c'est impossible que je frappe le
râteau, premièrement il est assez loin et deuxièmement le manche est
tellement petit que la probabilité que je le frappe est très mince.
Je m'exécute donc pour mon deuxième coup. La balle part en belle ligne
droite, frappe le râteau à mi-hauteur et brise le râteau en deux. Ma
balle poursuit sa route et se retrouve dans le champs de maïs à gauche.
Mon partenaire de jeu est couché au sol et tordu de rire en plein milieu
de l'allée et moi je regarde ce qui reste du râteau qui demeure encore
debout bien droit mais amputé de moitié.
Maintenant, je sais ce qu'est la loi de Murphy : Ce qui ne devrait pas
se produire, va tout de même se produire.
Référé par
: dgeoffr@ca.ibm.com
|
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Mr Grimard a de la difficulté dans les trappes... |
 |
 |
Mr Grimard, 74 ans, se présente sur le
terrain de golf pour jouer un petit neuf, voit trois jeunes qui se
préparent sur le départ du dixième trou et leurs demandent s'ils
l'accepterais avec eux. Les trois jeunes de répondre, « Pas de problème
sauf qu'on a déjà neuf trous de jouer et que l'on gage entre nous ».
« Pas de problème », répond Mr Grimard, « je vais suivre les mêmes
règles que vous si vous le permettez ».
Les trois jeunes se regardent et se tape dans les mains se disant ha ha
ha, on va lui faire les poches.
Au quatorzième trou, le compte est nul. Les quatre joueurs ont le même
pointage. Au quinzième, une normale trois, Mr Grimard manque sa
« drive » et se retrouve dans la trappe de sable.
« Merde, j'ai toujours eu de la difficulté à me sortir des trappes de
sable ».
Nos trois compères qui sont déjà sur le vert et, tout près du drapeau,
se voient déjà plus riches et arborent un large sourire. Mr Grimard
prend son « sand wedge » et se présente dans la trappe de sable,
s'installe et frappe. La balle soulevée par le sable, rebondit sur le
vert, roule et tombe dans la coupe.
Nos trois jeunes hommes sont littéralement abasourdis et en reste bouche
bé.
Après quelques minutes, Mr Grimard les regarde et leurs dits,
« Excusez-moi, pourriez-vous venir m'aider à sortir, j'ai toujours eu de
la difficulté à sortir des trappes de sables! ».
Référé par
: richard_dube@videotron.ca
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Deux bons coups... |
 |
 |
J'ai 2 semaines de golf,
c'était lors de mon premier parcours !
1) Au trou numéro 1, je me
place aux boules jaunes pour faire mon drive, quelques personnes se
positionnent derrière moi.
Je frappe ma balle, elle
rebondit sur les boules rouges, repasse à 1 mètre de ma tête et va
assommer un des participants derrière moi. Mon parcours commençait fort
!!!!!!!!.
2) Sur le 9ème trou, je me
positionne à 110 mètres du green, un bon joueur me conseille de faire un
plein coup au fer 9, je me décide à faire un demi coup au fer 5, étant
un peu fatigué. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que la
balle rebondit à 3 mètres du trou et va tranquillement terminer dedans.
Je n'ai pas lu dans
beaucoup de sites et dans beaucoup de livres qu'il valait peut être
mieux (une fois positionné au début de sa zone d'approche) privilégier
un demi coup avec un fer plus long plutôt qu'un plein coup avec un fer
plus court, pourtant je l'applique souvent avec succès et beaucoup
s'en étonne tout du moins ceux qui s'acharnent au fer 9 quand je suis au
fer 5 !
Référé par
:
pacifiqueone@wanadoo.fr
|
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Une histoire belge... |
 |
 |
En Belgique, nous jouons chaque année les
championnats "interclubs". Si en Dames ou Messieurs I division 1 les
meilleurs se rencontrent, pour l'obtention du titre national, il n'en va
pas de même dans la catégorie Dames III division 3. Une excellente amie,
jeune joueuse de golf, très fière de sa sélection dans l'équipe (golf de
Rigenée), commence son match-play. Le match est serré. Au trou n°10,
elles sont à égalité. Soudain un besoin urgent se fait sentir et mon
amie disparaît dans un buisson; soulagée, elle réapparaît sur le fairway
et son adversaire lui dit: «Vous avez perdu le trou, vous n'aviez pas
le droit de faire "pipi" hors limite, vous êtes donc "one down"». Ne
connaissant pas les règles, elle accepte la décision et se retrouve
menée d'un trou ! Dramatique,
non?
Témoin
: Éric Leclerc (leclercthierry@hotmail.com)
Commentaire du Golfeur : «Dramatique, en effet! Il est difficile de
concevoir que des gens utilisent des telles tactiques pour gagner.
Toujours est-il qu'on ne doit pas interrompre le jeu, mais l'article 6-8
(iv) permet tout de même de le faire pour toute raison valable.»
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
|
 |
|
 |
|
 |
|
 |
 |
Oiselet... |
 |
 |
C'était en août 1998, au golf de
LaPrairie au trou No. 3, une normale 5. Après un bon
coup de départ, je prend un fer 3 pour effectuer mon
deuxième coup. Je prend mon élan, rendu en haut, je
savais que le résultat serais décevant. Alors, je
calotte (merci à votre lexique) ou "Top" la balle et
elle part en flèche. Rien d'impressionnant, mais il se
trouve que sur la trajectoire de ma balle se trouve une
mouette. Sans même la faire dévier, la balle frappe la
mouette. La mouette fait un saut d'environ 3 pieds,
retombe par terre, tremble de convulsions pendant 10
secondes puis plus rien. En avançant vers la victime, mon ami
Denis Bédard n'arrête pas de me dire "T'as tué
une mouette, Yves. J'en reviens pas. T'as tué un
mouette". Je n'ai jamais pensé qu'une "Top
Flite" pourrait être si fatale pour un être
vivant.
En approchant du corps
inerte de l'oiseau, il reprend conscience, se relève
tout ébranlé avec une aile complètement détruite. Mon
ami me propose la "brillante idée" de prendre
mon bois 1 et d'achever ses souffrances. Trop
"pissou" et sauvé par la fuite de l'oiseau,
j'ai pu continuer le trou avec une certaine
déconcentration. Frappe la balle dans le sable, 3 coups
pour en sortir, 4 puts, un beau 10. Je me suis consolé
en me disant que quelqu'un d'autre avait trouvé ce trou
beaucoup plus pénible que moi.
Soumis
par : Yve Currier (Yves.Currier@cum.qc.ca)
|
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Baignade inusitée... |
 |
 |
Lors
d'un parcours à 4 joueurs sur un golf de la région de
Toulouse, 3 copains jouent avec un monsieur qu'ils ne
connaissent pas. Tout se passe bien. Au départ du trou
15, l'inconnu joue sa première balle dans l'étang à
droite,une seconde encore dans l'étang, une troisième
toujours dans l'étang et enfin la quatrième sur le
fairway. Le jeu continue mais l'inconnu ne prononce plus
un mot. Les 3 copains sont perplexes. Enfin au 18, tout
le monde rentre son put, se remercie et se serre la main.
Après ces congratulations,
l'inconnu prend son sac, avec tout le matériel,
s'approche de la mare qui jouxte le green du 18 et le
jette dans l'eau à la consternation des 3 copains. Puis
tous les 4 se dirigent vers club-house comme si de rien
n'était, l'inconnu ayant retrouvé la parole, pour boire
une bière. Chacun paie sa tournée et lorsqu'arrive le
tour de l'inconnu, celui-ci constate que son argent ainsi
que ses papiers et les clefs de sa voiture sont dans son
sac (celui qui est dans la mare).
Il n'hésite pas une
seconde et repart à la mare accompagné des trois
copains hilares (discrets). Parvenu au bord, il se met en
slip, rentre dans l'eau et en tatonnant dans la vase avec
ses pieds, il retrouve son sac. Il plonge et ramène le
tout, homme, sac et vase sur le bord. Là, il fouille
dans les poches, récupère son portefeuille, ses clefs
et d'un seul geste rejette le sac dans la mare.
Alors, trempé, maculé de
vase et, ses vêtements dans les mains, il retourne au
clubhouse pour prendre une douche. Les 3 copains en
profitent pour se tordre de rire et s'éclipser avant que
ce fou furieux ne revienne....
Soumis
par : Gérard J. Lagardere (gejola@wanadoo.fr)
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
|
 |
 |
Durette
synonyme de Couple exceptionnel... |
 |
 |
Voici une incroyable et
invraisemblable histoire de golf rapportée dans
l'édition Août 1998 de l'hebdomadaire Golf Laval,
Laurentides, Lanaudières. En effet, dimanche le 5
juillet 1998, Suzanne
et Guy Durette,
membre du club de golf Val-Morin, dans les Laurentides,
ont réussi un inimaginable coup de chance sur le trou no
9 de leur club, une normale 3 de 155 verges.
Ce jour-là,
le couple a réussi deux trous d'un coup sur le même
trou. Imaginez: deux trous d'un coup par un couple - mari
et femme - jouant sur le même quatuor et sur le même
trou. Du jamais vu ! Et, l'histoire ne se termine pas
là. Ces deux trous d'un coup étaient leurs sixième et
septième en... 11 ans.
Une
expérience sûrement unique dans les annales de golf.
D'après
un texte de : Daniel Caza
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Trou d'un coup exceptionnel... |
 |
 |
Il y a plusieurs années, nous
étions au club Miner de Granby. Le Miner est, un
parcours de 9 trous, construit sur un terrain accidenté
et parsemé de rochers. Quoique la majorité de ces
rochers sont hors parcours, quelques-uns se retrouvent au
beau milieu des allées.
Ce jour-là, Jean-Pierre Guillemette,
un de mes partenaires de golf, réalisa, comme toujours
d'ailleurs, un magnifique coup de départ en plein centre
de l'allée. La balle, après avoir franchie plusieurs
centaines de verges, atterrit sur un des rochers pour
reprendre son envol en direction du vert. Tous à
l'exception de Jean-Pierre avaient vu la balle se diriger
au vert. Comme il cherchait toujours celle-ci, nous lui
avons conseillé de jeter un coup d'oeil dans le trou.
Quel ne fut sa surprise et la nôtre de l'y retrouver.
Tant qu'à
réussir un seul trou d'un coup dans sa vie, autant le
faire sur une normale 4.
Témoin
: Jacques J. Lefebvre
|
|
 |
 |
 |
 |
|
 |
|
 |
Allez!
Cliquez sur Courriel et faites moi part des votres! |
 |
|
 |
 |
|