Divers - Échange et rencontre

 

Vous avez été témoin d'un fait cocasse ou inédit lors de votre ronde de golf, envoyez-moi un courriel et je me ferai un plaisir de l'ajouter ici.
Fait digne de mention
Club de golf Val-Neigette de Rimouski

Faire un trou d’un coup dans la vie d’un golfeur est un exploit remarquable. Mais, faire un trou d’un coup le 8 août 2008 (le 08-08-08) devient mémorable. Enfin, le réussir sur le trou # 8 avec un fer 8 en mains est tout simplement exceptionnel. Eh bien, croyez-le ou non, c’est ce qui est arrivé à Lynda Gosselin sur le trou #8 , long de 120 verges.

Félicitations !

Gauche à droite :
Sylvie Chandonnet, Claire Gagné, Lynda Gosselin et Yves Gagné.

Autres faits cocasses :
Le quatuor avait un départ à 9h18, l’exploit a été enregistré à 10h58 et la balle est tombée 8 pouces devant le trou pour finalement rebondir dedans !!! Pour Lynda, il s’agissait de son 2e trou d’un coup à vie.

Référé par : Gaëtan Richard

Deux petites histoires...

Au club de golf Le Cristal (St-Rosaire au Centre-du-Québec), je fais un match avec un ami, mon père et un de ces ami. Alors que nous sommes au départ d’un trou situé tout juste à côté du terrain de camping, l’ami de mon père, un policier par surcroit, prend position et frappe sa balle du tertre des blanc. Cette dernière va frapper la petite balle rouge qui indique les tertres avancés, rebondit en l’air et monte à environ 100 pieds et se dirige tranquillement vers le camping. Tous cherchent la balle et moi qui la voit leur indique sa position. Finalement la balle va terminer sa course sur une grosse roulotte dans un beau bruit de taule froissé. Le propriétaire sort alors de son domaine et commence a chercher d’où cela peut bien venir et commence a regarder dans notre direction car on est mort de rire, et l’ami de mon père regarder vers l’allée et dire, ‘Wow bon coup plein centre de l’allée’ et de monter dans la voiturette et poursuivre sa route comme si de rien n’était, alors que mon ami et moi qui marchions on n’en finissait plus de rire.

Le 10 octobre dernier, en compagnie d’amis, on joue une ronde au club de golf de Grand-Mère en Mauricie. Au 15e trou, un des joueur envoi son coup de départ sur la gauche près des arbres. Les 3 autres, on est dans l’allée et on joue notre coup pendant que notre compagnon chercher sa balle. Une fois que nous avons tous frappé, on va lui prêter main forte dans ses recherches (on peut se le permettre puisqu’on est presque les seuls sur le parcours en cette journée de semaine du mois d’octobre). Notre copain cherchait sa balle dans l’herbe longue alors nous on décide de jeter un petit coup d’œil sous les arbres. Stupéfaction, au pied d’un arbre il y a environ une trentaines (30) de balles qui son là, Jackpot pas de balle a acheter pour un bout. On regarde de plus près mais les balles sont tous endommagées et rongées par un petit animal. On continu encore la recherche, un autre arbre et encore près d’une quinzaine de balle au pied et encore un peu plus loin une autre dizaine. Tous cela pour dire que la seule fois où j’avais vu autant de balles c’était quand je travaillais dans un ‘driving range’ et que désormais je vais tenter de me procurer un écureuil, lui enlever ses dents et le dompter afin qu’il me rapporte les balles que j’envoie dans le bois…

Référé par : David Paquin

Je me suis remis au golf...

Mon auguste femme estimant que la marche me ferait du bien m'a suggéré de me remettre au golf. Ses désirs étant des ordres, je suis parti sur le champ m'enquérir de l'habillement adéquat et des ustensiles utiles à la pratique de ce noble art.

Concernant l'habillement, pas de problème, le golf s'est fortement démocratisé mais il est cependant de bon ton de porter des « knikers » comme le font les écossais et les anglais car comme chacun sait ce sport nous vient tout droit de la perfide Albion où la tenue vestimentaire doit être strictement adaptée à la situation. Les chaussures cloutées sont indispensables sous peine de glissades intempestives, le golf se pratiquant sur un terrain bien gras de préférence. J'ai donc déniché une vieille paire de godillots sur lesquels j'ai vissé quelques clous de gros diamètre. Enfin, la casquette affichant une marque de golf connue est vivement recommandée mais pas obligatoire. Toutefois, n'allez surtout pas porter une casquette publicitaire du tour de France ou celle de votre club de football, c'est très mal vu.

Concernant les ustensiles, il faut des cannes dites « clubs ». J'en avais bien quelques uns mais en osier qui paraît il ne sont plus utilisés de nos jours. Allez savoir pourquoi ? Un sac pour mettre les cannes, pardon, les clubs et une carriole pour transporter le sac. Pour les clubs, j'en ai donc acheté d'occasion via un bon copain en qui j'ai toute confiance et qui est un spécialiste. Il a choisi pour moi des « Ping Zing » si... aux avantages incontestables : couleur rose fluo permettant même de jouer la nuit, répartition sphérique des masses, bâton en carbone et tout et tout. Pour le sac ma femme m'a cousu un vieux rideau et pour la carriole j'ai fait avec deux roues de vélo un bricolage maison du plus bel effet.

Fringué à l'étiquette avec ma culotte bouffante et tout mon bazar je me suis donc rendu sur le terrain où je fus accueilli par quelques regards goguenards mais on aller voir ce qu'on aller voir... La première déception vint que je dus couper les clous de mes godillots, cet accessoire n'étant plus autorisé. A ma demande d'explications l'on me répondit que, à cause des clous, les vers de terre étaient atteint de douleurs lombaires, que d'ailleurs ils avaient déposé plainte en tant que vers de terre golfique agricole d'une caste supérieure et qu'à ce titre ils réclamaient en plus des subventions sous peine de grève.

Arrivé au trou N° 1, je choisis soigneusement un club au hasard et tape par quatre fois dans le vide (des air-shoot qu'ils disent). Manifestement, c'est le club qui est trop court. Je change donc pour un « bois en titanium » et ne réussis qu'à faire quatre magnifiques trous. Re-manifestement, cette fois, c'est le club qui est trop long. Vérification faite, il s'avère que toutes les cannes ont une longueur différente, franchement, c'est du vice à moins qu'il y ait un défaut de fabrication ?

Bref, en finale, j'opte pour le « putter » qui me rappelle le croquet mais n'offre aucune fiabilité directionnelle ce qui me vaut quelques incursions dans les bacs à sable (les bunkers qu'ils disent, à ne pas confondre avec les blockhaus) dont j'ai un mal fou à sortir. Le plus dur étant le jardinage après pour tout remettre en état.

Enfin, après un nombre incalculable de coups je suis arrivé sur un rond d'herbe tout beau, tout propre avec un petit trou au milieu orné d'un drapeau. Mon adorable chien dut alors satisfaire un besoin naturel (le gros, pas le petit) ce qui faisait désordre. Je mis donc l'objet du délit dans le trou en replantant le drapeau par-dessus.

Ça n'a pas eu l'air de plaire à un jardinier juché sur une tondeuse à gazon qui m'a prié de quitter le terrain. Le golf, c'est un beau sport mais c'est fou comme les gens y sont compliqués !

Référé par : Antoine Rasson

Merci Tortue...

Le 29 juin 2004, au club Base de Roc, à Joliette, trou no 15.

Je suis au 100 verges. Entre moi et le vert, un lac profond. À l'aide de mon cocheur d'allée, je frappe une balle très haute qui se retrouve en plein milieu du lac. Splash!... Ah non!... Et puis bing!.. Croyez-le ou non, la balle rebondit très haut, retombe sur le vert à 10 pieds du drapeau et je réussis la normale. Éberluées, mes compagnes et moi nous précipitons au bord du lac pour élucider le mystère... C'est là qu'on voit cette petite tortue, un peu sonnée, qui y flotte en surface.

Merci tortue.

Référé par : Mme Alphey Fréchette

Loi de Murphy...

Il y a plusieurs années, au Club de Golf de St-Polycarpe (Soulanges) près de Valleyfield, je me présente au trou # 11 avec mon partenaire de jeu qui était aussi un ami de longue date. Le trou # 11 est une normale 4 de plus de 400 verges des jalons les plus éloignés et bordé à gauche par un champ de maïs.

Mon partenaire et moi jouont notre 1er coup en utilisant un bois # 1. Je frappe un bon coup mais ma balle se retrouve à gauche en face d'une trappe de sable d'allée. Trappe, qui de mémoire était assez longue. Pour me rendre au vert avec mon 2ième coup, ma balle devra survoler la trappe de sable. Jusqu'à présent, pas de problème, j'ai une belle ligne, ma balle n'est pas en mauvaise position donc tout va bien.

Pour mon 2ième coup, je décide de prendre mon bois # 3. Comme je me prépare à frapper, mon partenaire m'indique de faire attention car il y a une râteau à l'autre bout de la trappe en ligne directe entre moi et le vert. Le râteau ne repose pas au sol mais est planté comme un piquet bien droit. Il me dit, de ne pas frapper tout de suite, qu'il va aller enlever le râteau.

Moi, je lui répond que non, que c'est impossible que je frappe le râteau, premièrement il est assez loin et deuxièmement le manche est tellement petit que la probabilité que je le frappe est très mince.

Je m'exécute donc pour mon deuxième coup. La balle part en belle ligne droite, frappe le râteau à mi-hauteur et brise le râteau en deux. Ma balle poursuit sa route et se retrouve dans le champs de maïs à gauche.

Mon partenaire de jeu est couché au sol et tordu de rire en plein milieu de l'allée et moi je regarde ce qui reste du râteau qui demeure encore debout bien droit mais amputé de moitié.

Maintenant, je sais ce qu'est la loi de Murphy : Ce qui ne devrait pas se produire, va tout de même se produire.

Référé par : dgeoffr@ca.ibm.com

Mr Grimard a de la difficulté dans les trappes...

Mr Grimard, 74 ans, se présente sur le terrain de golf pour jouer un petit neuf, voit trois jeunes qui se préparent sur le départ du dixième trou et leurs demandent s'ils l'accepterais avec eux. Les trois jeunes de répondre, « Pas de problème sauf qu'on a déjà neuf trous de jouer et que l'on gage entre nous ».

« Pas de problème », répond Mr Grimard, « je vais suivre les mêmes règles que vous si vous le permettez ».

Les trois jeunes se regardent et se tape dans les mains se disant ha ha ha, on va lui faire les poches.

Au quatorzième trou, le compte est nul. Les quatre joueurs ont le même pointage. Au quinzième, une normale trois, Mr Grimard manque sa « drive » et se retrouve dans la trappe de sable.

« Merde, j'ai toujours eu de la difficulté à me sortir des trappes de sable ».

Nos trois compères qui sont déjà sur le vert et, tout près du drapeau, se voient déjà plus riches et arborent un large sourire. Mr Grimard prend son « sand wedge » et se présente dans la trappe de sable, s'installe et frappe. La balle soulevée par le sable, rebondit sur le vert, roule et tombe dans la coupe.

Nos trois jeunes hommes sont littéralement abasourdis et en reste bouche bé.

Après quelques minutes, Mr Grimard les regarde et leurs dits, « Excusez-moi, pourriez-vous venir m'aider à sortir, j'ai toujours eu de la difficulté à sortir des trappes de sables! ».

Référé par : richard_dube@videotron.ca

Deux bons coups...

J'ai 2 semaines de golf, c'était lors de mon premier parcours !

1) Au trou numéro 1, je me place aux boules jaunes pour faire mon drive, quelques personnes se positionnent derrière moi.

Je frappe ma balle, elle rebondit sur les boules rouges, repasse à 1 mètre de ma tête et va assommer un des participants derrière moi. Mon parcours commençait fort !!!!!!!!.

2) Sur le 9ème trou, je me positionne à 110 mètres du green, un bon joueur me conseille de faire un plein coup au fer 9, je me décide à faire un demi coup au fer 5, étant un peu fatigué. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que la balle rebondit à 3 mètres du trou et va tranquillement terminer dedans.

Je n'ai pas lu dans beaucoup de sites et dans beaucoup de livres qu'il valait peut être mieux (une fois positionné au début de sa zone d'approche) privilégier un demi coup avec un fer plus long plutôt qu'un plein coup avec un fer plus court, pourtant je l'applique souvent avec succès et beaucoup s'en étonne tout du moins ceux qui s'acharnent au fer 9 quand je suis au fer 5 !

Référé par : pacifiqueone@wanadoo.fr

Une histoire belge...
En Belgique, nous jouons chaque année les championnats "interclubs". Si en Dames ou Messieurs I division 1 les meilleurs se rencontrent, pour l'obtention du titre national, il n'en va pas de même dans la catégorie Dames III division 3. Une excellente amie, jeune joueuse de golf, très fière de sa sélection dans l'équipe (golf de Rigenée), commence son match-play. Le match est serré. Au trou n°10, elles sont à égalité. Soudain un besoin urgent se fait sentir et mon amie disparaît dans un buisson; soulagée, elle réapparaît sur le fairway et son adversaire lui dit: «Vous avez perdu le trou, vous n'aviez pas le droit de faire "pipi" hors limite, vous êtes donc "one down"». Ne connaissant pas les règles, elle accepte la décision et se retrouve menée d'un trou !

Dramatique, non?

Témoin : Éric Leclerc (leclercthierry@hotmail.com)

Commentaire du Golfeur : «Dramatique, en effet! Il est difficile de concevoir que des gens utilisent des telles tactiques pour gagner. Toujours est-il qu'on ne doit pas interrompre le jeu, mais l'article 6-8 (iv) permet tout de même de le faire pour toute raison valable.»

Petit suisse glouton...

Par une belle journée d'automne, mon beau frère George Wadzworth et moi jouions sur un terrain situé à Rigaud. Installé confortablement sur le tertre de départ, je m'élance. Ma balle fait un crochet sur la droite et se retrouve directement dans les bois. George frappe sa balle et tout va bien; en plein dans le fairway. Après une petite marche de quelques verges, me voilà dans les bois cherchant ma balle. C'est peine perdue! Je ne la trouve pas. Aussitôt ces mots prononcés, je vois courir dans les bois un petit suisse (dit tamia en Europe) avec une balle de golf deux fois plus grosse que sa tête entre ses dents... c'est bien la mienne. J'essaie tant bien que mal de la récupérer, mais lorsque le suisse décide de grimper à un arbre, j'abandonne. La petite bête perchée sur une branche d'arbre, je griffonne double bogey sur ma carte de pointage.

Témoin : Richard Boutet (tetuob@hotmail.com)

7T1C...

Paul Darveau, membre du club de golf de Rivière-du-loup, a réussi le nombre incroyable de sept trous d'un coup (7T1C). Difficile à croire, n'est-ce-pas? Bien, lisez la suite car le meilleur est à venir.

Sur une normale 3 d'environ 150 verges, avec un lac entre le tertre de départ et le vert, ce spécialiste du trou d'un coup a calotté sa balle, fait rebondir celle-ci sur l'eau, réussi à sortir du lac, rouler sur le vert et finalement tomber dans le trou.

Et nous qui avons cru qu'un T1C était synonyme de dextérité et précision!

Référé par : Pierre Alexandre Lizotte (peanutyo@hotmail.com)

Tour du chapeau...

La majorité des golfeurs rêvent du jour où ils pourront réaliser leur premier trou d'un coup. Du moins, tel est mon cas! Pour Firmin Molmans, la question n'est pas de savoir s'il réussira un trou d'un coup, mais s'il pourra réussir un deuxième tour du chapeau des normales 3 du club de golf de Beloeil, sur la rive sud de Montréal.

Firmin a réussi un trou d'un coup sur chacune des 5 normales 3 du parcours et il a même entrepris dans faire le tour une seconde fois en réussissant une deuxième fois le trou numéro 6. Vous avez bien lu, 6 trous d'un coup pour le même homme.

Vous savez maintenant pourquoi peu de membres du club de golf de Beloeil accepteront de miser sur les normales 3. Du moins, lorsque Firmin est sur le quatuor!

Référé par : Guy Lemonde

Albatros...
J'aimerais vous faire part d'un exploit de golf que j'ai réalisé au Club Alpin à Sainte-Brigitte-de-Laval, Québec. Je suis encore très énervé. C'était le 24 juin 1999. J'étais en compagnie de Lucie Verrault, Nicole Chabot et Guylaine Fortin.

Ce n'est pas un trou d'un coup. Non, c'est un ALBATROS au trou numéro 6 de normal 5, qui a 390 verges. Après une drive assez haute mais bien frappé il me restait 180 verges avec un vent de dos et un drapeau rouge. J'ai pris mon bois n° 5 et voilà dans le trou.

Ce qu'il y a de plus extraordinaire, c'est que le lendemain, le 25 juin 1999, au même trou j'ai encore réalisé l'exploit, un deuxième ALBATROS. J'ai frappé une belle drive et il me restait 161 verges cette fois et le drapeau était tout au fond à gauche. J'ai choisi encore une fois mon bois 5 et là nous avons cru qu'elle avait roulé dans la fosse de sable à l'arrière du vert. Lorsque je suis arrivé et que je n'ai pas vu de balle dans la fosse j'ai jeté un coup d'oeil dans le trou. Mes yeux se sont remplis d'eau et j'ai crié. J'étais en compagnie d'Hélène Falardeau, Benoît Peticlerc et André Jean mon époux qui m'a dit qu'il avait assisté au plus bel exploit sportif de sa vie. Les gens ici n'en reviennent pas!!!

Soumis par : Sylvie Arseneault (a.jean@videotron.ca)

Oiselet...
C'était en août 1998, au golf de LaPrairie au trou No. 3, une normale 5. Après un bon coup de départ, je prend un fer 3 pour effectuer mon deuxième coup. Je prend mon élan, rendu en haut, je savais que le résultat serais décevant. Alors, je calotte (merci à votre lexique) ou "Top" la balle et elle part en flèche. Rien d'impressionnant, mais il se trouve que sur la trajectoire de ma balle se trouve une mouette. Sans même la faire dévier, la balle frappe la mouette. La mouette fait un saut d'environ 3 pieds, retombe par terre, tremble de convulsions pendant 10 secondes puis plus rien.

En avançant vers la victime, mon ami Denis Bédard n'arrête pas de me dire "T'as tué une mouette, Yves. J'en reviens pas. T'as tué un mouette". Je n'ai jamais pensé qu'une "Top Flite" pourrait être si fatale pour un être vivant.

En approchant du corps inerte de l'oiseau, il reprend conscience, se relève tout ébranlé avec une aile complètement détruite. Mon ami me propose la "brillante idée" de prendre mon bois 1 et d'achever ses souffrances. Trop "pissou" et sauvé par la fuite de l'oiseau, j'ai pu continuer le trou avec une certaine déconcentration. Frappe la balle dans le sable, 3 coups pour en sortir, 4 puts, un beau 10. Je me suis consolé en me disant que quelqu'un d'autre avait trouvé ce trou beaucoup plus pénible que moi.

Soumis par : Yve Currier (Yves.Currier@cum.qc.ca)

Baignade inusitée...
Lors d'un parcours à 4 joueurs sur un golf de la région de Toulouse, 3 copains jouent avec un monsieur qu'ils ne connaissent pas. Tout se passe bien. Au départ du trou 15, l'inconnu joue sa première balle dans l'étang à droite,une seconde encore dans l'étang, une troisième toujours dans l'étang et enfin la quatrième sur le fairway. Le jeu continue mais l'inconnu ne prononce plus un mot. Les 3 copains sont perplexes. Enfin au 18, tout le monde rentre son put, se remercie et se serre la main.

Après ces congratulations, l'inconnu prend son sac, avec tout le matériel, s'approche de la mare qui jouxte le green du 18 et le jette dans l'eau à la consternation des 3 copains. Puis tous les 4 se dirigent vers club-house comme si de rien n'était, l'inconnu ayant retrouvé la parole, pour boire une bière. Chacun paie sa tournée et lorsqu'arrive le tour de l'inconnu, celui-ci constate que son argent ainsi que ses papiers et les clefs de sa voiture sont dans son sac (celui qui est dans la mare).

Il n'hésite pas une seconde et repart à la mare accompagné des trois copains hilares (discrets). Parvenu au bord, il se met en slip, rentre dans l'eau et en tatonnant dans la vase avec ses pieds, il retrouve son sac. Il plonge et ramène le tout, homme, sac et vase sur le bord. Là, il fouille dans les poches, récupère son portefeuille, ses clefs et d'un seul geste rejette le sac dans la mare.

Alors, trempé, maculé de vase et, ses vêtements dans les mains, il retourne au clubhouse pour prendre une douche. Les 3 copains en profitent pour se tordre de rire et s'éclipser avant que ce fou furieux ne revienne....

Soumis par : Gérard J. Lagardere (gejola@wanadoo.fr)

Dérapage courant...
Nouveau golfeur de race masculine, je rejoins un autre golfeur plus lent que moi. Il faut spécifier qu'il est encore très tôt, et je file mon 9 trou pour aller vite me coucher ayant travaillé toute la nuit. L'homme, constatant qu'il me retarde, me laisse passer voyant que je cogne quand même bien ma balle et que je marche mon parcours d'un train rapide. Je me dis que je serai loin devant lui en quelques minutes...mais voila que je commence à jouer de la "slice" et de la tourbe....quand je ne cours pas les bois. Les préposés me font attendre question de tondre les greens ou bien pire...les "sprinklers" qui jaillissent alors que ma balle arrive sur le vert du trou 4...Bref, j'aurais joué avec mon bon monsieur et je n'aurais pas terminé plus tôt...

Depuis ce temps, j'ai appris à frapper moins fort mais droit devant...je n'épate plus la galerie mais je joue rapidement...

Soumis par : Claude Brodeur (claud12@yahoo.com)

(Avez-vous remarqué qu'à toutes les fois que nous essayons de passer en avant d'un autre groupe, le hasard s'acharne sur nous ? Le truc, prenez votre temps! Dites-vous que lorsqu'un groupe accepte de vous laisser passer, il ne s'attend pas à vous voir disparaître instantanément.)

Durette synonyme de Couple exceptionnel...

Voici une incroyable et invraisemblable histoire de golf rapportée dans l'édition Août 1998 de l'hebdomadaire Golf Laval, Laurentides, Lanaudières. En effet, dimanche le 5 juillet 1998, Suzanne et Guy Durette, membre du club de golf Val-Morin, dans les Laurentides, ont réussi un inimaginable coup de chance sur le trou no 9 de leur club, une normale 3 de 155 verges.

Ce jour-là, le couple a réussi deux trous d'un coup sur le même trou. Imaginez: deux trous d'un coup par un couple - mari et femme - jouant sur le même quatuor et sur le même trou. Du jamais vu ! Et, l'histoire ne se termine pas là. Ces deux trous d'un coup étaient leurs sixième et septième en... 11 ans.

Une expérience sûrement unique dans les annales de golf.

D'après un texte de : Daniel Caza

Trou d'un coup exceptionnel...

Il y a plusieurs années, nous étions au club Miner de Granby.  Le Miner est, un parcours de 9 trous, construit sur un terrain accidenté et parsemé de rochers. Quoique la majorité de ces rochers sont hors parcours, quelques-uns se retrouvent au beau milieu des allées.

Ce jour-là, Jean-Pierre Guillemette, un de mes partenaires de golf, réalisa, comme toujours d'ailleurs, un magnifique coup de départ en plein centre de l'allée. La balle, après avoir franchie plusieurs centaines de verges, atterrit sur un des rochers pour reprendre son envol en direction du vert. Tous à l'exception de Jean-Pierre avaient vu la balle se diriger au vert. Comme il cherchait toujours celle-ci, nous lui avons conseillé de jeter un coup d'oeil dans le trou. Quel ne fut sa surprise et la nôtre de l'y retrouver.

Tant qu'à réussir un seul trou d'un coup dans sa vie, autant le faire sur une normale 4.

Témoin : Jacques J. Lefebvre

Un réveil surprenant.
J'ai commencé à jouer au golf il y a quelques années. Un de mes amis, prénommé Pierre, m'avait convaincu d'aller jouer avec lui et afin de ne pas me décourager nous avons joué pendant un certain temps sur de petits terrains comme le golf des Plaines de Charlesbourg.

A un certain moment, nous étions au trou numéro 3 , un par 3 dont il faut monter une pente pour accéder au vert. Dans le bas de cette côte, sortait de terre, un tuyau de ciment de fort petit diamètre. Mon ami frappe sa balle dans le tuyau directement et avec force. Un bout de quelques secondes la balle ressort lentement suivie par un espèce de siffleux complètement abasourdi qui part tout croche.

La pauvre bête a du être fort surprise d'être ainsi dérangée ...

Témoin : Richard Boutet (richard.boutet@sympatico.ca)

Allez! Cliquez sur Courriel et faites moi part des votres!
  2012-12-11
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